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PLACEMENT LIBRE, DEBOUT
ISAAC DELUSION (POP – FRANCE)
Après 3 ans de silence, Isaac Delusion revient avec un quatrième album inespéré. Fondé en 2012, survivant d’une scène française « 2010’s » influencée par les groupes anglo-saxons, le projet s’inscrit dans la durée, quitte à faire figure d’exception dans un monde où tout augmente, sauf la durée de vie des groupes.
La pop, musique intemporelle par excellence, a toujours eu de nombreux fans et le public du groupe lui reste fidèle depuis ses débuts. La pop anglo-saxonne, elle, a ses codes, indémodables. Des codes qu’Isaac Delusion maîtrise à la perfection et complète d’une touche personnelle très forte, mise en lumière par l’empreinte vocale immédiatement reconnaissable de Loïc, chanteur/compositeur du groupe. Ce dernier reconnaît par ailleurs être inspiré
par des artistes comme Phoenix, James Blake, Sufjan Stevens ou encore par la folk angélique de Angelo De Augustine, mais c’est plus une question de sensibilité partagée que de références.
VONFELT (ELECTRO/POP – FRANCE)
Il y a des personnes et des choses.
La première chose est une batterie.
Vonfelt en est tombé amoureux et a commencé à en jouer assidûment dès l’âge de 7 ans.
S’en suivra la basse, la guitare, les synthétiseurs et toutes ces choses qui transforment des idées en sons.
Il y a des choses et des personnes.
Adolescent, il monte un groupe avec deux sacrés personnes, voir des sacrés personnages : le mélodieux Elliot (Petit Prince) et le fameux Jacques touche à tout dada avec qui ils vont enflammer les caves Strasbourgeoises de leurs créativités sans limite.
Puis, comme souvent, sonnent les départs. Chacun trouve sa voie pour finir par mieux se retrouver, car Vonfelt joue les batteries sur le premier album de Jacques et l’accompagne dans sa délirante tournée.
Multi-facettes, il est tantôt multi-instrumentiste auprès d’artiste sur scène et en studio (Jacques, Joko, Uto,Petit Prince, Ed Mount, AJA, T/O), d’autres fois compositeur pour la danse contemporaine (Simon Feltz, Chloé Zamboni) ou encore chanteur psychédélique à la voix profonde dans son nouveau projet solo éponyme.
Dans ce dernier il écrit, compose, arrange et joue tous les instruments, officiant un mariage inédit entre rythmiques, synthétiseurs et la poésie d’un Mélody Nelson futuriste : un goodtrip entre rêves lucides et hallucinations soniques.
Les graves de sa voix saisissent, transportent et invoquent les désirs de mondes parallèles.