ABONNÉ ASTRO : 15€ / PRÉVENTE : 20€ / SUR PLACE : 23€
L’événement initialement prévu le 5 décembre 2020 est reporté au 23 avril 2022. Les billets restent valables. Pour toute demande de remboursement, vous pouvez envoyer un mail à billetterie@lastrolabe.org
RUSSIAN CIRCLES (USA / METAL)
Réglé comme une horloge, le trio instrumental de Chicago RUSSIAN CIRCLES nous livre régulièrement depuis l’inaugural « Enter » en 2006 des parpaings post-metal à la densité rare et à la production impeccable. Auteur des impériaux « Empros » (2011) et « Guidance » (2016) qui ont achevé de faire du groupe LA référence du metal lourd et instrumental, RUSSIAN CIRCLES revient avec « Blood Year », son LP le plus metal à ce jour renfermant des monstres de heaviness comme « Milano » et son blast beat glacé ou le final « Quartered » en forme de long passage à tabac aux accents carrément hardcore, un recoin des musiques lourdes où on pensait ne jamais voir le groupe s’aventurer.
Septième album donc, une discographie qui n’en finit pas de nous faire dresser le poil lors de longues écoutes au casque, et des shows qui vont toujours plus massifs à rebours du temps qui passe, sans laisser la moindre trace sur Mike, Brian et Dave et leur incroyable talent pour nous transporter.
HELMS ALEE (USA – ROCK)
Noctiluca est une algue marine bioluminescente qui brille lorsqu’on l’agite. Pendant des années, le batteur et chanteur de Helms Alee, Hozoji Matheson-Margullis, en a gardé un gobelet à son chevet et tapait dessus la nuit pour éclairer sa chambre. L’océan a toujours été un thème récurrent avec Helms Alee, que ce soit dans le clin d’œil nautique de leur surnom ou dans les pochettes d’album comme Sleepwalking Sailors. Mais pour leur cinquième album Noctiluca, la référence marine est peut-être la plus proche de leur son : mystérieux, magique et qui brille dans l’obscurité.
Noctiluca poursuit la tradition de Helms Alee qui consiste à mélanger des riffs puissants, une instrumentation luxuriante et des mélodies transcendantes. En commençant l’album par « Interachnid », le groupe affiche son approche à multiples facettes où les rugissements de Verellen servent de contrepoint au chant des sirènes. L’équilibre entre la force et la beauté fluctue tout au long du disque, avec des chansons plus agressives comme « Beat Up », tandis que des titres comme « Pandemic » évitent l’approche brutale en faveur d’une pop rêveuse.